Un petit up pour mettre ici les 2-3 ajustements faits récemment.
Juste avant Pecq, j'ai donc réduit le tour de taille du filtre à air. 3 raisons à ça :
1- ça soigne la ligne de la pétrolette
2- ça me permet d'écarter un peu moins ma guibole
3- ça réduira un chouïa le volume d'air en entrée, ce qui pourrait limiter l'effet chiatique du pet dans le filtre
dès que je roule avec du vent de face (oui oui, j'avais bien sûr essayé de jouer sur la richesse avant...)
Au final, avec un léger réajustement de la richesse, ça pète moins fréquemment. Mais je ne suis pas encore
complètement débarassé du symptôme. A moins de changer le filtre, je ne vois pas d'autre solution.
La dernière update à faire à ce niveau-là est de foutre le Yost dans le Super B pour voir ce que ça donne (mais
avant ça j'ai d'autres problèmes que j'vous expliquerai bientôt...)
Vient maintenant le moment opportun pour une petite devinette : voilà l'état dans lequel mon échappement arrière se
trouvait ce jour-là.
Essayez donc de deviner quelle genre de bestiole a osé venir se brûler les baboules sur le tube encore brûlant ?!
Nan, ce n'est ni un lapin, ni un écureuil.
Imaginez un peu. Fin janvier. Une virée dominicale particulièrement frisquette, histoire de poursuivre les tests de
la Mistress. Un arrêt réconfort pour me réchauffer et m'hydrater la glotte avec quelques lappées de boisson houblonnée. Je béquille, sans prendre gaffe que ma splendide et néanmoins magnifique
chapka, planquée sous mon blouson, vient de s'en échapper. Je relève la tête dans un beau nuage de fumée, pour constater que le plus gros de la bestiole est en train de fondre sur le tube
Et allez... faut que je me recogne un bon coup de polissage...
Tiens, au passage, 'savez à quoi on peut souvent repérer une meule d'expo ?
Autre 'bitoniot' que je devais faire depuis la fin d'année : le support du contacteur à clé.
Cette semaine, il était temps que je m'attelle au nouveau réservoir.
Eh ouais ! Celui récupéré et adapté en mai dernier s'est mis à me faire du goutte-à-goutte dès les premiers tours de
roue, ce qui a salement fait cloquer ma peinture... et m'a particulièrement gonflé à Pecq (encore merci Copain pour ton coup de main ).
Les enseignements que j'en retiens :
- éviter les réservoirs d'occase, à moins de les ouvrir en 2 pour récurer l'intérieur
- ne JAMAIS se contenter d'un test d'étanchéité à la flotte. Toujours le faire à l'essence
- idéalement prendre le temps d'aller rouler à blanc avant peinture.
Je reprends donc les petites adaptations faites sur le précédent, avec en plus la délocalisation du robinet d'essence, plus appropriée en bas du
flanc gauche lorsqu'on ne démarre qu'au kick.
A défaut d'une scie cloche kivabien, je passe par des perçages multiples pour supprimer l'emplacement original du
robico. Chiatique à souhait quand on n'a rien de suffisamment large et stable pour bosser à hauteur.
Je finis par les soudures :
Et là, même constat : sans un vrai plan de travail sur lequel poser les coudes pendant la soudure + de quoi
immobiliser le réservoir... une vraie tannée. Du coup le cordon du bung n'est pas aussi réussi que je l'espérais.
Bon... l'essentiel est quand même que ce soit étanche !